Mina HARKER

[je mets l'histoire après parce que ça tenait pas en un seul message, xD^^
bonne chance aux admins pour tout lire]

Histoire:

L’histoire à proprement parler de Mina commence bien avant sa naissance, dans un grand royaume, gouverné par un roi naïf et faible, et tyrannisé par de puissants seigneurs, tous plus malhonnêtes les uns que les autres. Dans un grand manoir vivait une de ces familles de nobles, riches et orgueilleux. Dirigés par un marquis arrogant, les membres de cette famille étaient redoutés de tous, et plus particulièrement des paysans qui préféraient s’installer le plus loin possible de leur demeure. Ils les accusaient de pratiquer la magie noire et d’avoir pactisé avec le Diable. Mais les seigneurs faisaient subir les pires tortures imaginables à quiconque osait salir leur image par de tels propos. C’est cette attitude qui prouvait que cette vieille famille accueillait des générations de guerriers sanglants et sans état d’âme.
Alors que l’une des marquises n’avait encore que 19 ans, elle décida de fuir ce théâtre de cruauté et de perfidie. Elle n’était pas comme ses ascendants : aucun sentiment négatif n’émanait d’elle, son sens de la justice n’avait d’égal que sa grande beauté, et détestait sa famille au moins autant que la haine que cette dernière entretenait envers les « sang impurs », c'est-à-dire les paysans. Au beau milieu de la nuit, alors que tous dormaient, elle s’enveloppa dans un long manteau, sortit du château et se dirigea vers un petit village aux alentours. Elle parcoura quelques kilomètres et arriva enfin à une petit auberge très accueillante, dans laquelle elle prit une boisson chaude, pour faire face au froid de l’hiver. Dans la taverne, elle était la seule femme mise à part les deux serveuses, et les hommes la regardaient d’un œil arrogant. Elle tenta de discuter avec l’un d’entre eux, mais lui dévoila par inadvertance son nom, et donc son appartenance à la famille que tous ces gens haïssaient et craignaient. Tous les convives, en entendant ce nom, se ruèrent sur la jeune femme et blessèrent son corps fragile de nombreux coups. Elle criait, se recroquevillait sur elle-même pour protéger sa tête des poings de ses agresseurs, mais rien n’y faisait.
Le miracle qu’elle attendait désespérément apparu. Un homme entra dans la taverne, sûrement alerté pas le vacarme que faisaient ses confrères. Il était habillé tout de noir, et de longs cheveux sombres tombaient sur ses larges épaules. Une expression de calme se lisait sur son visage, mais lorsqu’il aperçut la femme brutalisée par une bande d’ivrognes, son sang ne fit qu’un tour et il se jeta à son tour dans l’émeute, non pas pour frapper la jeune marquise, mais pour s’en prendre à ses assaillants. L’épée qu’il portait à son côté se retira de son fourreau et trancha les têtes de ces derniers, les unes après les autres. Une fois qu’il ne restât plus que la jeune demoiselle, le guerrier sombre et les deux serveuses médusées, un silence morbide envahit la salle. Le sol était jonché de corps inanimés, et ruisselait de sang. Le jeune meurtrier essuya sa lame sur le vêtement d’une de ses victimes et la rengaina. Puis il s’approcha doucement de la jeune fille, tombée dans l’inconscience à cause du sang qu’elle avait vu couler. Il passa un bras sous ses jambes et l’autre sous ses épaules et la souleva délicatement, puis sortit silencieusement de la taverne.
Lorsque la jeune marquise se réveilla, elle se trouvait allongée sur un lit, dans une grande pièce éclairée par des cierges. L’homme qui l’avait sauvée était à ses côtés, et tenait un linge blanc imbibé d’eau froide, le pressant contre son front pour apaiser la douleur. Elle fut d’abord surprise de cet élan de gentillesse de la part d’un inconnu, mais elle commença lentement à l’apprécier. Cette nuit là, elle pu dormir dans un lit douillet, sereine comme elle ne l’avait jamais été en sachant que son sauveur se reposait dans les pièces voisines. Le matin à son réveil, une autre surprise l’attendait: un plateau et de la nourriture avaient été placés sur sa table de nuit, cadeaux de ce mystérieux protecteur. La journée passa et les deux individus commencèrent à parler de leurs vies, aussi tristes soient-elles. Le jeune homme disait s’appeler Dagon et lorsqu’il demanda son nom à la jeune femme, celle-ci hésita, puis ce résigna à lui dévoiler son identité, et son appartenance à une famille de tyrans. Cela ne fit aucun effet à l’homme, qui avait de nombreuses raisons de les haïr. En effet, dans ses veines coulait pas de sang noble, et sa famille avait été massacrée par des seigneurs tels que les aïeux de la jeune femme. Mais la rage aurait naquit en son cœur si ce dernier n’avait pas été déjà empli d’un tout autre sentiment. Yanara, tel était le nom de celle qu’il avait sauvée le soir dernier. C’était le même que celui de la seule femme qu’il avait aimée jadis, mais qui avait été tué par des démons sanguinaires. En plus de cela, elle lui ressemblait comme deux gouttes d’eau, mises à part la grâce et l’élégance que démontraient chacun de ses mouvements, alors que son ancienne aimée était plutôt maladroite. Il ne s’en rendit compte que quelques jours après leur rencontre, mais Dagon était tombé sous le charme de la belle marquise. Plus les jours passaient, plus ils se rapprochaient et finirent par se déclarer leur flamme un soir d’été. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, les semaines passaient et le jeune couple prospérait. Cependant, un étrange et désagréable pressentiment inquiétait Yanara: celui de revoir sa famille. Un soir, alors qu’elle était seule, Dagon étant parti chasser, on frappa à la porte, et lorsqu’elle ouvrit, son pire cauchemar se réalisa : dans l’encadrement de la porte se tenait son père. Il frôlait la soixantaine mais avait conservé son apparence de grand guerrier. Par-dessus son épaule on pouvait apercevoir tout un groupe d’autre guerriers, montés sur des chevaux, et dont un tenait une grande monture noire par la bride. Hargan, le père de Yanara, s’était aperçut de la traîtrise de sa propre fille et de la honte qu’elle faisait à la famille pour avoir aimé un homme issu d’une famille « impure ». Il la fit sortir de force de la maison et l’attacha sur son cheval. Dagon, qui revenait de la chasse, avait vu qu’on enlevait sa bien aimée. Ni une ni deux, il se rua sur les guerriers mais ceux-ci étaient puissants, entraînés et nombreux. Ils le mirent rapidement à terre et le tuèrent devant les yeux Yanara. Elle tomba dans l’inconscience et ne bougea pas durant tout le reste du voyage. Lorsque les cavaliers arrivèrent au château, d’autres femmes vêtues de longues robes sombres se tenaient sur les marches de pierre devant la grande porte. Elles regardèrent Yanara avec des expressions écœurées alors que les hommes la conduisaient dans le château. Ce soir là, Yanara fut accusée de tous les crimes possibles et imaginables, qu’elle n’avait même pas commis. Ils la jetèrent dans un profond cachot, la laissant mourir dans sa solitude et sa mélancolie. Mais quelques mois plus tard, alors que ses forces l’abandonnaient, elle se réveilla un matin alors qu’une servante lui portait un maigre repas. Elle en était sûre à présent : elle portait l’enfant de Dagon. La servante, qui l’avait prise en pitié, supplia le maître du château de permettre à Yanara de mettre au monde son enfant dans un endroit plus salubre et celui-ci, dans un accès de bonté qui lui était encore inconnu, accepta. L’accouchement fut long et douloureux pour la jeune femme agée d’à peine 21 ans, mais après des heures de souffrance, une petite fille naquit. Celle-ci était aussi belle et gracieuse que sa mère, mais semblait déjà avoir la force et l’agilité de son père. Yanara fut ensuite reconduite aux cachots, arrachée de force à sa fille. Elle pleura pendant des jours, jusqu’à ce qu’un des gardes du manoir, envoyé ici pour la tuer, accomplit sa besogne. Ainsi mourut Yanara, fille du comte Hargan…
Mais l’histoire ne se termina par là, bien au contraire! La fille que Yanara avait mise au monde grandit et reçut l’éducation d’une comtesse digne de ce nom. Les membres de sa famille la nommèrent Mina. A 7 ans déjà, elle était plus froide que la plupart de ses cousines, commençait à apprendre à se battre grâce à ses oncles et montait à cheval avec ses cousins. A 12 ans, elle faisait la fierté de son grand-père, qui regrettait de ne pas l’avoir eue comme fille, contrairement à Yanara qu’il détestait au plus haut point. Cependant, un jour alors que Mina se promenait à cheval avec un de ses cousins, ils virent une biche allongée sur le sol, blessée par une lance. Le cousin de Mina descendit de sa monture et se précipita vers l’animal. Mina fit de même, mais au lieu de regarder son cousin achever la pauvre bête, il le bouscula et l’empêcha de commettre son crime. Le jeune homme, irrité, lui reprocha d’être trop douce et trop sensible, qu’elle était aussi bonne que la mère l’avait été, et qu’elle ne méritait pas de faire partie de leur famille. Puis il remonta à cheval et partit au galop en direction du château. Mina, humiliée par les propos que venait de tenir son cousin, resta près de la biche, et pleura toutes les larmes de son corps. A la nuit tombée, son grand-père ainsi que quelques oncles arrivèrent au grand galop. Hargan mit pied à terre et se posta devant sa petite fille, le regard furieux.

« Les paroles rapportées par ton cousin sont-elles vraies? L’as-tu empêché de tuer cet animal?! » fit-il d’une voix grave et inquiétante en désignant la biche.

La jeune fille opina, le visage ruisselant de larmes. Aussitôt, le comte se mit dans une colère noire. Cette fois-ci, ses mots furent bien plus durs et plus blessants que ceux qu’avait proféré le cousin de Mina. Celle-ci crut qu’elle allait mourir de chagrin et de courroux. Elle sentit monter en elle une puissance qu’elle n’avait jamais connue. Dans un accès de rage, elle se leva et d’un geste fluide, dégaina l’épée d’Hargan et la lui planta en plein cœur. Le vieux guerrier fit un pas en arrière, et tomba au sol devant les yeux écarquillés des membres de sa famille. Mina, quant à elle, tenait l’épée inclinée vers le sol. Elle la leva lentement et la pointa vers ses oncles.

« Tous autant que vous êtes, désormais vos vies m’appartiennent. Craignez moi ou périssez de ma lame ! »

Avait-elle crié en brandissant l’épée du défunt comte. Tous les cavaliers baissèrent la tête en signe de soumission envers l’assassin du guerrier qu’ils craignaient le plus. Un des chevaux fut donné à Mina pour rentrer au château. Arrivé là-bas, elle s’empara non seulement de la grande demeure, mais aussi de tout ce qui se trouvaient à l’intérieur, et de ses habitants. Tous tremblaient devant elle. Ils ne mettaient jamais les pieds dans ses appartements, de peur d’être tués. Quelques années après, plusieurs rumeurs furent fondées. Il était dit que la jeune femme pratiquait la magie noire, et offrait des sacrifices de sang et de chair à des esprits sataniques. En effet, un soir une des tantes de Mina, Olivia, vit entrer 5 personnes à l’allure effrayante. Toutes vêtues de longues capes noires, sous lesquelles on pouvait distinguer des habits de cuir de même couleur, et des armes affûtées. Elles avaient le teint livide, des cheveux longs et noirs, et des yeux très sombres. Olivia les regarda, apeurée, jusqu’à ce qu’ils disparaissent dans les appartements de sa maîtresse. Mina accueillit ses invités à sa façon, leur servant du sang en guise de boisson et de la chair humaine en guise de nourriture. Après leur dîner, auquel s’était jointe la comtesse, les vampires, car il s’agissait bien de ces créatures de la nuit, s’approchèrent d’elle. Après une conversation sérieuse et complexe, l’un d’eux s’approcha d’elle et la prit par la nuque. Il passa sa langue sur la gorge chaude et y planta ses longs crocs acérés. Mina s’effondra sur le sol, sans vie. Quelques minutes après, elle ouvrit les yeux. Les vampires étaient à table à côté d’elle, et la regardaient d’un œil machiavélique.

« Bienvenue chez les morts vivants! » fit celui qui l’avait mordue.

La comtesse se releva et sourit à son tour. Elle était passée par la mort, mais était maintenant immortelle. Ses pouvoirs avaient décuplé, et sa puissance était plus terrifiante que jamais. Les vampires repartirent tels des ombres, et la maîtresse de maison descendit vers les membres de sa famille réduits en esclavage. Elle commença par tuer Olivia, car s’était la première qu’elle avait croisée. Mais sa cible principale était son cher cousin. Elle le mordit et s’abreuva de son sang, puis fit de même avec tous les autres. Bientôt, il ne resta plus que cette femme cruelle dans le manoir. Des cadavres jonchaient le sol sur lequel s’étendaient également des mares de sang.
Des siècles passèrent mais un jour, une garnison de soldats s’arrêta devant les portes de sa demeure. Intriguée, la vampire leur demanda ce qu’ils lui voulaient, et fut surprise de voir que ces homme n’étaient pas là pour la tuer, mais pour la recruter. Leur général avait eu vent de ce qui s’était passé au château des Harker, et souhaitait pouvoir compte Mina dans ses rangs. En effet, une telle créature à son service remporterait bien des batailles, et la comtesse accepta. Elle passa plusieurs années sur des champs de bataille, en sortant toujours victorieuse. Mais elle avait pris un goût trop prononcé pour la sauvagerie, et le général, voyant qu’il ne pouvait emporter de prisonniers sans que sa protégée le dévore dans son sommeil, se vit dans l’obligation de lui laisser quelques temps de repos, en attendant qu’elle se calme. En raison de sa maîtrise de la magie noire, il lui conseilla d’enseigner tout ce qu’elle savait. Alors elle se mit en quête d’une école de sorcellerie. C’est ainsi qu’elle entendit parler d’Allayah…

Bienvenue à toi et passe du bon temps belle vampire!

Sois le bienvenue et bravo pour ta magnifique présentation !! Tu peux aller te faire répartir !

Fiche validée !!!

Merci beaucoup!
Je vais de ce pas tenter de me faire engager xD^^

interessant, toi qui hai les vampires comme jamais, tu te résou a en être une ? hum... je vais cafter tout ça sur yin yang ^^

bienvenue chere rivale et chere chiri ^^

Nan j'ai jamais dis que je haïssais les vampires, loin de là!
Il n'y en a qu'un que je hais de tout mon corps... mais que j'adore... chuut!

Et je te remercie pour cet accueil, mon rival adoré^^

Wouah splendide présentation!
J'ai enfin fini de lire ton histoire et qu'une seul chose à dire: Bravo, j'adore!
En tout cas bienvenue a toi, ac faisait longtemps que je t'attendais
Amuse toi bien ici

mirci beaucoup^^